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Les Femmes fatales d’Hippolyte Romain

 

 

Le pinceau déluré d’Hippolyte Romain chatouille et caresse notre époque depuis trente ans déjà. Un pinceau voyageur, mi-parisien, mi-chinois, emprunté à Toulouse Lautrec, Fragonard et Baudelaire, qui capte tout en légèreté les froufrous de la volière couture et les fulgurantes apparitions de la nuit. « Femmes fatales » marque le retour de ce classique moderne dans les galeries.

DB

Du 9 novembre 2004 au 8 janvier 2005 à la galerie Arludik
12-14 rue Saint-Louis-en-l’Ile, 75004 Paris