Scène et piste noire dans l’atmosphère chaleureuse et sereine du Laboratoire, c’est ainsi que Jan Taminiau a choisit l’étui de sa Haute Couture.
Le vent se lève lorsque le premier modèle apparaît, visage masqué. Dans une combinaison brodée en 3D, sur des chaussures sublimement inconfortables, dont l’équilibre doit se faire entre la danse africaine, pieds au sol à plat, mais en mode pieds pointés. De vrais bijoux et un vrai défi pour Lady Gaga, sa muse.
Toujours masquées les filles défileront en robe de soie craquante, brodée, mélangée à de la mousseline. Des robes longues, des kaftans, tissés jacquard avec du fil réfléchissant. Un clin d’œil au passé avec un savoir faire moderne. Magnifique. Du pur rêve !
Ce qu’il en dit ? « La couture n’a rien avoir avec la réalité ou la portabilité, il s’agit de libre pensée et d’extraordinaire. Liberté artistique à cent pour cent »
Mfb
Photos Alexei Moskalenko
Presse Jean François Soler/ Stationservice