Reynhard vit entre l’Italie et New York en ce moment.L’Italie pour le savoir-faire, New York pour l’inspiration me dit-il.
Pour l’été prochain Reynhard pactise avec le soleil. Du sisal à points aérés pour un chapeau qui joue entre l’ombre et la lumière. Ou tissé de manière plus brute dans du blanc écarlate.
Quand il fait des erreurs Reynhard s’en sert pour nous redonner un plissé sur un borsalino vieillit décoloré. Du mouvement aussi sur une casquette qui a l’air d’avoir le vent en poupe.
Aux pieds de très beaux sabots compensés.
Mfb
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