Juste à côté de Devoa, un jeune homme se tient debout, prêt à nous recevoir. Il travaille aussi pour la marque. Mais à côté de cela, il dessine sa propre marque de bijoux qu’il nous présente. Iolom.
Un domaine qui ne lui était pas prédestiné car il vient du design d’intérieur. Noriaki Sakamoto s’est lancé dans l’aventure du bijou depuis deux ans. Il nous avoue considérer la joaillerie comme une petite architecture.
Voyons voir ce qu’il appelle d’ailleurs « les petits objets ».
De ses bagues il s’en dégage un esprit très délicat. De la finesse, du brut apprivoisé dont il garde les imperfections, signe du « fait main ». En or ou en argent les anneaux s’entrelacent comme du fil de fer, les chevalières au relief gommé sont uniques.
De fines chaines rectangulaires se mélangent à des chaines tissées, pour le cou ou le poignet. Du bracelet aussi en cuir et cuivre que Noriaki développe en portefeuilles et sacs…
Le Zippo renait et devient très précieux, comme si un artiste et un artisan l’avaient manipulé.
Noriaki fait tout lui-même. Sauf pour les sacs nous dit-il.
Porter Iolom c’est porter quelque chose d’unique. Un objet d’une grande finesse empreint du travail du passé, de la nature avec un esprit moderne.
Mfb
Photos Aurore Rominger
Showroom Stealthprojekt