“No wall will stop us to create”
Repérée par des prix prestigieux comme le Festival d’Hyères ou Mercedez Benz, invitée par les Fédérations de Paris, Milan ou Londres depuis la création de sa marque, c’est cette fois-ci Tranoï qui convie Liselore à faire son show au Palais de la Bourse.
Cheveux gominés, tressés en chignon et make-up militant avec des inscriptions sur le visage comme : No wall – Furiosa asi – La idea de combate, des mots pour souligner le combat du Mexique aujourd’hui.
La devise ? « Aucun mur ne nous empêchera de créer » !
Du poncho?!… Oui, mais street wear, en sweat, zippé sur l’épaule ou très glam et coloré : Rouge d’un côté, vert de l’autre, imprimé devant et bordé d’une bande de cuir argent ; des détails malins avec un col lacé par une corde ou des manches remontées par une patte de trench.
Du pompon ? Juste en inserts rectangulaires sur le bas d’une jupe ou l’épaule d’une chemise.
Le blouson ou la robe parka, rose pale, sont harnachés de cuir écologique argenté, le trench se porte transparent, le manteau se fait chaud en matelassé à cercles mais garde sa fraicheur printanière avec ses fines rayures bleu pâle.
Etonnants aussi les lunettes bijoux d’Anneleen Bertels réalisés par Zeiss, l’équivalent d’Essilor en France.
Au pays de Frida Khalo, des mayas, Liselore Frowijn créé un Mexique combatif, libre, moderne, sport, raffiné et tout en couleur.
Photos Vincent Lappartient