Sandrine Philippe, le paradoxe

C’est toujours dans son atelier boutique au 6 rue Hérold que Sandrine fait ses présentations.

Au rez-de-chaussée, la même installation que la collection passée. Sacs poubelles brulés par ci par là, les mannequins sortent d’une motte de terre au sol, un piano explosé et quelques chaises de récup.

Au sous-sol se trouve la nouvelle collection. Quelques belles robes et des hauts en soie bien balancés. De la belle dentelle toujours réinterprétée. Puis quelques pièces faisant parties de ses classiques.

Tiens une jeune femme s’approche de nous ; d’origine anglaise elle assiste Sandrine. C’est elle qui brûle, qui associe les plastiques à la collection et qui a réalisé l’installation.

Une présentation en décalage avec cette fashion week, qui ne reflète pas le travail précieux de Sandrine ni son esprit parisien.

Mfb

Photos Valeria Castillo Mendoza

Presse Stéphanie Veuriot

Femme Automne 2014 Hiver 2015