Fidèle à son emplacement chez Tranoï, Amy n’aime pas changer quand elle est bien quelque part. Quelques mètres en plein dans le passage suffisent à cette belle artiste venue de L.A nous présenter ses pièces uniques.
De l’argent, du bronze tout droit sortis de la terre, martelés de gestes purs. On ne lisse pas son travail chez Amy, chaque geste garde son empreinte.
Du carré mais aussi du rond pour des bagues qui parfois s’emboitent. Des chaines à mettre autour du cou ou du poignet, à maillon octogonal et carré.
Amy dompte d’une manière ancestrale la matière, une sorte de princesse des déserts dans sa manière d’aborder le bijou.
Pour les tee-shirts, toujours du fait main, peint, teint et séché au soleil de Los Angeles. Du « Darkness » nous dit-elle. Une noirceur qu’elle obtient de ses mains.
Mfb
Photos Valeria Castillo Mendoza
Salon Tranoï Bourse